Il y a les élections et il y a les affaires courantes. Pour les élections c'est bouclé. Pour les affaires courantes au moment même où les soutiens sont à l'ordre du jour et que je sais respecter les engagements républicains pris par mon parti tout n'est pas bouclé et les situations sont cocasses ou exaspérantes. Ultime exemple: demain à la salle J. Brel il y a la grande manifestation autour de " C'est la faute à Le Corbusier" sous l'égide des Services Culturels et avec de nombreux intervenants invités et avec naturellement la présence du Sénateur Maire, celle de l'adjoint traitant du logement et...et...cerise sur le gâteau: l’oubli de celui délégué à la Culture contrairement même aux usages républicains tant évoqués ces derniers jours…
Rien? alors cela sera rien! Je n’ai pas l’intention d’être une pièce rapportée! Demain j'irais à la pêche et je chercherais à savoir de qui est-ce-la faute? Et dimanche dans mon service minimum au nom de la République et de mes obligations je relirais un vieux texte du Corbu sur la Guerre, paru en 1929 dans la remarquable revue Plan et illustrée de bois gravés de Franz Masereel, retiré de mes rayons de bibliothèque. De la culture quoi! En tout état de cause il arrivera bien un moment où je finirais par pointer la responsabilité de ces fautes.