26.03.2011, 16:47
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« Nous sommes tous condamnés à une réclusion individuelle dans notre propre peau », - a relevé un jour le grand dramaturge, poète et écrivain Tennessee Williams. Ce classique de la littérature américaine de rayonnement international aurait eu 100 ans le 26 mars.
Pourtant, la phrase sur la solitude fatale ne s’étend pas du tout à l’œuvre de Tennessee Williams lui-même. Il a été de son vivant et reste presque trente ans après sa mort en 1983 le dramaturge dont les pièces ne quittent pratiquement jamais la scène. Pendant près d’un demi-siècle, depuis 1961, les pièces de Williams traduites en russe sont mises en scène en Russie. Cela a commencé par la première moscovite de sa pièce « Orphée descend aux enfers ». Le centenaire de la naissance du dramaturge est célébré à Moscou par ce drame dans une nouvelle mise en scène.
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