Dans leur absurdité
Les senteurs dérangées
Que propagent les muses
Sauront nous, à travers,
Lames et persiennes,
Recueillir un peu d’air
Que la vie nous amène ?
Ou devront nous,
Contre la fatalité
Se heurter à ce vous
Qui ne veut que nous tuer ?
Non, la pierre est volage
Et le souffle, doux !
Brandir haut et fort l’image
Que nous pouvons enfin, tout !
* @brig't@