LuneDeTrіstesse : pоème L’Аbécédаіre de mes mаux…

Ah ! Mes amitiés amères, je les laisses de côté pour préserver mes amitiés sincères.

Beret sur la tête, je sors faire un tour dans cette campagne avec ces petits marais.

Chaumière chaleureuse demeure dans les bois comme celle de Thomas Kinkade.

Destinée avec ses méandres où la Lune porte le visage de Diane.

Echec et mat. Une manche de perdu et plusieurs revanches à prendre.

Feuilles s'effeuillent au fil du temps quand la vie vous offre une fleur…

Girouette tourne la tête à l'appel du vent vers la direction à suivre.

Harpe charme la musique telle une caresse sur un océan d'évasion…

Illusions s'oeuvrent dans des toiles sans aucun sens, juste des fondements.

Jactance, lointaine, fût une cause des tourments passés.

Kyrielle se joue de la parole pendue … à quand la fin ?

Lisianthus de Lune fleurissent en bouquet champêtre d'élégance et distinguée.

Mystère de la mort s'amplifient depuis des siècles jusqu'à la fin des temps.

Néanmoins, aussi le vide que le néant. La galaxie berce ses secrets dans le noir complet.

Obscurité nocturne sommeille sur l'ode du silence… le calme plat du monde des rêves.

Philosophie à mes pensées où peinent mes pourquoi sans réponse…

Quiétude apaise avec sérénité et tranquillité.

Rien ne vaut une prise de conscience pour s'élever librement.

Solitude isole les méditations pour un approfondissement de soi.

Tristesse n'est pas tragique si elle se termine sous une larme de douceur.

Univers unis le yin et le yang des états d'âmes.

Vanesse papillonne dans ses rameaux ensoleillés, beauté naturelle.

Wagon vide se remplis de va-et-vient aux chemins qui se croisent.

Xylophyle sculpte le bois. De ces doigts oeuvrent son art.

Yeuse, le chêne, connaît toutes saisons sans perdre son feuillage.

Zéphire de ces maux ici s'abandonne à la brise douce et légère.