Les journaux sportifs, surtout lorsqu’ils sont locaux, voient leur lectorat croître fortement et continûment.
Modèle pour la presse en général ? Plus de généralistes, un thème qui mobilise une communauté de mordus ?
Pas si sûr. Il n’y a pas de journaux sportifs chez les Anglo-saxons. Ce sont les journaux populaires qui parlent de sport.
Au fond le lectorat d’un journal est une communauté qui a des aspirations communes. Si un titre veut être rentable, il doit se demander comment servir au mieux ces aspirations, spécialiser ses journalistes en fonction, et, pour le reste, faire au plus efficace.