Malgré l’efficacité du système de santé Français, certaines maladies subsistent sur le territoire hexagonal. Parmi elles, nous pouvons citer l’exemple de la tuberculose qui est une maladie infectieuse touchant principalement poumons. C’est pourquoi, les pouvoirs publics organisent annuellement (23 Mars) la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose. Néanmoins, il convient de ne pas dramatiser l’importance de cette maladie en France parce qu’elle elle se développe essentiellement à l’étranger. De plus, les professionnels de santé disposent désormais de nombreux outils permettant de soigner parfaitement cette maladie dans la plupart des cas. Or, les mutuelles santé s’associent pleinement à cette lutte contre la tuberculose en publiant régulièrement des informations préventives en ce sens. Dès lors, les mutuelles santé illustrent qu’elles ne se cantonnent pas au rôle d’intervenant financier en matière de protection sociale. En outre au-delà des mutuelles santé, il convient de noter que l’Assurance Maladie agit également de manière remarquable au profit de cette grave problématique.
Par ailleurs, les pouvoirs publics ont pris conscience de la nécessité de collaborer complètement en faveur de cette lutte contre la maladie. A cet égard, nous pouvons notamment remarquer avec satisfaction que la Secrétaire d’Etat chargée de la Santé (Madame Nora Berra) a effectué un déplacement au sein du Centre médical de Bligny. En effet, cet espace particulièrement efficace est chargé de prendre en charge les patients présentant un caractère infectieux ou ne parvenant pas tendre vers une meilleure santé malgré les nombreux traitements médicaux reçus. En outre, cet organisme recueille également l’ensemble des personnes défavorisées souffrant d’infections tuberculeuses dans la mesure où elles ne disposent naturellement pas des ressources nécessaires afin de recevoir des soins médicaux dans le cadre du réseau médical traditionnel. Par voie de conséquence, il nous appartient de mettre en lumière les actions positives de la classe positive car celle-ci est très souvent décriée, et pas toujours à juste titre.