Très vite, Samira découvre que son mari est impuissant; en fait, il l’a épousé pour rester en accord avec les conventions sociales et en faire une infirmière aidant son neveu Farouk à prendre soin de son père.
Le manque d’affection et l’intérêt sexuel de son mari deviennent insupportables pour Samira, ce qui l’oblige, pour rester femme et résister à la perte totale de sens que son mariage induit, à combler ses vides par des fantasmes.
Au fil des jours, elle commence à s’intéresser au jeune Farouk, quelque peu effarouché par les avances de Samira qui finit par l’entreprendre dans une relation amoureuse foudroyante.
Le mari, devinant la nature de la relation qui s’établit entre sa femme et son neveu, chasse ce dernier sans le ménager et malgré les supplications de Sa femme.
Samira est livrée aux affres de l’esseulement, écartée entre ses besoins d’affection et l’indifférence d’un mari qui se mue en geôlier.