Sous une couche de larmes,
Mon bonheur s'amoindri,
Par l'amertume de tes silences
s'affranchie ma déchéance...
Mes croyances s'éffondre ,
j'ai miroité des doux songes,
Devenu une pair de guenilles usée,
Couvert d'une boue poiseuse...
Tomber dans les sables mouvant,
T'aspire mon dernier souffle,
un colosse au pied d'argile vagabond,
s'échoue au fond du gouffre...
Envole toi ma colombe, tes paroles comme un tapis de bombes,
en miner mon existance...
A toi qui fut , sera et restera malgrés tous ma meilleur amie.