A la sortie de ce premier album, Frédéric affiche une sincère humilité. «Je m’attendais moi-même au tournant comme beaucoup de gens d’ailleurs. C’était un vrai challenge. En le faisant, on se rend compte que c’est un sacré travail. Il y a des problèmes de géométrie mais aussi d’histoire de l’art qui chacun demande pas mal de réflexion. Et comme il y a beaucoup de vignettes à trouver… Ensuite côté style et dessin, c’est du haut niveau. Je ne suis qu’un débutant. Je suis donc content de m’en être sorti vivant !»
Pour aller plus loin, je vous invite aussi à découvrir le site préparé par l’éditeur et à relire l’interview de Gilles Chaillet sur AURACAN.COM. Enfin, en exclusivité pour ce blog, ce billet est illustré par un portrait de Vasco et quelques cases en noir et blanc de la planche 41.