Twitter, vous le savez j’adore (vous pouvez retrouver mes bavardages ICI)... Pour de multiples raisons en fait... Ce que j’aime particulièrement, c’est le changement de ton selon les moments de la journée... Pendant les heures de bureau même si cela reste convivial, on sent bien que la timeline se donne bonne conscience et échange de multiples informations, une veille, un fil continu intéressant, instructif, insolite... et puis le soir tout change... on retrouve les copains et là on se serre tous sur le même canapé et on regarde ensemble la télé. Oui, moi aussi, qui n’allumait plus le poste qu’après 22h30 et encore, je prends de bonnes rasades de rire devant d’improbables émissions qui nous normalement nous enlèvent des bouts de cerveaux si on s’installe devant. Oui c’est vrai, cela vide la tête... mais après le stress ambiant, c’est plutot agréable...
Alors me direz-vous tout cela reste virtuel... pas du dout ! Et l’andouillette que j’ai mangé hier en est la preuve !
Quand on décide de suivre quelqu’un sur Twitter, c’est sur les conseils de copains, ou parce qu’il est expert dans un domaine que nous affectionnons. Au départ, c’est une histoire de hasard. Et puis au fil des tweets, on s’apprécie, les échanges sont chaleureux, amusants, le lien est vraiment créé. C’est ce qu’il s’est passé pour moi avec @LaCuisinedeBige. Cette nana là en plus d’avoir un joli blog culinaire, est une nana pleine de vie, toujours gaie, ayant des petits mots gentils pour tous, mais sait aussi pousser des coups de gueule quand il le faut. Mais elle parle surtout avec passion de ce qu’elle aime. Bref, j’aime suivre cette fille là. Et puis il y a eu notre fameux livetweet du lundi, le livetweet de #topchef !
Entre deux "Fanny mais qu’est-ce qu’elle est agaçante !" ou "Pierre-Sang faut qu’il arrête de suer comme ça, c’est gerbant !", nous nous sommes mises à parler andouillette. Oui, moi j’aime ces plats canailles, des vrais plats de terroirs... et comme je demandais où je pourrais trouver ce met qui me faisait saliver, ma Bige m’annonce, "Nous on en fait, je t’en envoie". Elle est drôle Bige ! M’en envoyer ? Bon ma gourmandise n’a pas pu résister longtemps à cet appel du pied, et je l’avoue, j’ai accepté.
Et c’est comme ça, que j’ai reçu un joli paquet avec quatre magnifiques andouillettes. Et mes amis quel régal !!!!! Accompagnées de frites, d’un peu de moutarde, nous nous avons vécu un moment de gastronomie divine.
Alors merci, merci, merci ma Bige. Et vous là, qui me lisez, si vous faites un petit tour en Savoie, allez à Barberaz et poussez la porte de la charcuterie artisanale des Revel "Au cochon sans souci", vous ne serez pas déçues.
Alors Twitter, c’est du virtuel ????