On dirait que le doute est un vortex d’implosion qui n’élit domicile que chez des êtres sensibles.
…Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte? Mourir.., dormir, rien de plus… et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair: c’est là un dénouement qu’on doit souhaiter avec ferveur.
Qui a dit ceci?
Le doute est toujours néfaste. Il neutralise les élans intérieurs et réduit les pulsions créatrices en néant … ça endort, ma foi, même un prophète.