Les magazines féminins c'est le mal. Non seulement entre mars et mai, on a droit à 35 pages de toute la panoplie des régimes spécial "comment perdre un os en mangeant des graines" le tout sponsorisé par une marque de cosmétiques, mais parmi les 20 pages de publicités diverses et variées, on arrive à trouver des choses qu'on voudrait ne jamais avoir vues et pas seulement un très bon article sur les meilleurs sextoys, mode d'emploi incorporé mais piles vendues séparément.
Et donc, une après midi somme toute très ordinaire d'oisiveté encore plus ordinaire, un café dans une main et une pile de magazines à lire dans l'autre, je m'installe sur une terrasse ensoleillée. C'est le printemps, les petits oiseaux chantent, le soleil brille, les jupes raccourcissent, toussa, je feuillette, je lis, et c'est là que le mal arrive.
En l'espace de 20 minutes, j'ai envie de m'offrir 3 montres. Pas moins. Mais pas du tic tac hélvétique coloré, qui selon les uns et les autres, est un gage de qualité dans le milieu.
C'est pas faux.
Alors, en attendant que le Swatch Store m'appelle pour m'avertir de l'arrivée imminente de la Winged Swatch by Jeremy Scott, entre la poire et le fromage, je suis tombée en pâmoison devant ça :
Et pour finir l'ODM de Jean-Charles de Castelbajac mais en blanc exclusivement pour ce modèle. Le côté ludique du Lego m'éclate à fond. D'autres couleurs/formes sont possibles.
Si avec tout ça, j'arrive encore à être retard, je vois pas.
Quel est le rapport avec le bellâtre ? Aucun, si ce n'est que la marque Oat Shoes propose de la tatane biodégradable. Et la brouette comme argument imparable, on n'a pas fait mieux.
Je vous laisse, je dois arroser les plantes, j'ai un nouvel arrosoir.