Il émit un cri,
dans ce grand silence,
et on n'entendit que lui,
cet homme qui pense,
au milieu de la nuit,
cet homme qui avance,
ses idées à grands bruits.
Il fait trembler les maudits,
ces rois tyrans, pilleurs d'Afrique,
engoncés dans leurs trônes "Pompe a fric",
et fait chanter à lui,
l'espoir d'un peuple révolté,
dont le sang est versé pour sa liberté.
Il respecte les sourates,
il est démocrate,
il est un, il est cent, il est mille,
il se prénomme, Kader, Mohamed, Adil,
Sur lui mon regard d'occident, bienveillant,
mes pensées le soutiennes,
il est l'avenir de son pays,
et que vite ton triomphe viennes.