À cause d’un cou bloqué suite à un malheureux faux mouvement, j’ai décidé de regarder un film pas trop chiant, du moins en apparence. Ma victime ? Letters to Juliet, une histoire d’amour qui n’a pas eu le droit de cité au cinéma et est directement passée par la case DVD. Et je vois un peu pourquoi maintenant…
Amanda Seyfried est adorable
Je l’ai toujours bien aimé cette petite actrice, surtout après son passage dans Veronica Mars et Big Love. Mais alors il faut dire une chose, c’est qu’au cinéma, elle ne tourne presque que dans des bouses. Ca en devient même assez inquiétant ! Un vrai don pour choisir des films insignifiants, et pire chiants.
Letters to Juliet (tellement le film n’a suscité aucun intérêt que personne n’a traduit son titre) raconte l’histoire de Sophie (et ouais, pas de Juliet !) une blondinette qui se rêve écrivain. Elle et son cuistot de fiancé se rendent dans la ville des amoureux – Verone – afin de passer de bons moments. Finalement, de bons moments il n’y aura point, mais Sophie va pouvoir jouer à Cupidon avec une grand-mère flanquée de son petit-fils (pas trop petit hein, genre beau mec).
On va laisser Verone à Roméo & Juliette
Bon, vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout été sous le charme de ce film que j’ai trouvé mièvre, pénible et interminable (alors qu’il ne dure que 1h45). Forcément, comme on devine tout, on se fait chier rapidement. Pourtant le casting n’était pas mauvais. En plus de Seyfried, on trouve aussi le beau Gael García Bernal (qui a du se perdre pour finir dans ce film). Mais ça ne prend pas du tout. En tout cas pas chez moi. Dommage.