Quant au titre, il fera couler beaucoup d'encre sous les commentaires du quotidien Libération, pour finir un internaute répond brillamment et coupe court à l'esclandre : “mieux vaut l'amour nègre que la haine blanche !” Tout est dit.
Jean-Michel Olivier est euphorique, emporté par le flot du courant qu'induit le succès. Mondanité, conférences, voyages, des propositions originales comme la dernière pour le café Maestro Lorenzo qui invite l'auteur à écrire des nouvelles en lien avec le café.
L'écrivain reste humble, parce que la littérature nous force à le rester. Et au milieu de 2'000 écrivains au Salon, on se sent comme une goutte d'eau dans la mer, on lance sa bouteille dans cet océan et qui sait quelqu'un la trouvera peut-être. Après avoir été vampirisé, happé par ce tourbillon, il ne reste plus qu'à reprendre le chemin de l'écriture fait d'exigence et de perfection. En écriture, on n'arrive jamais nulle part, il faut continuer à aller de l'avant, faire toujours mieux, évoluer sans cesse. C'est un peu comme l'expansion de l'univers, plus on avance, plus il s'élargit devant soi.
Lire la suite : http://regardscroises.blog.tdg.ch/archive/2011/03/20/salon-du-livre-de-paris-presence-suisse.html