À tel point que la Banque du Japon a indiqué qu’elle était prête à agir directement en vendant du yen. Heureusement, pour le Japon, le G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) vient de lui apporter son soutien en indiquant que les banques centrales réaliseront, si nécessaire, une « intervention concertée » pour enrayer la hausse de la devise japonaise. Tokyo de repartir de l’avant : le Nikkei s’est adjugé 2,72% à 9206,75 points en clôture ce vendredi. Sur la semaine, l’indice vedette du japon a toutefois reculé de 10,2%, soit la plus forte baisse hebdomadaire depuis la crise financière de 2008.
À tel point que la Banque du Japon a indiqué qu’elle était prête à agir directement en vendant du yen. Heureusement, pour le Japon, le G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) vient de lui apporter son soutien en indiquant que les banques centrales réaliseront, si nécessaire, une « intervention concertée » pour enrayer la hausse de la devise japonaise. Tokyo de repartir de l’avant : le Nikkei s’est adjugé 2,72% à 9206,75 points en clôture ce vendredi. Sur la semaine, l’indice vedette du japon a toutefois reculé de 10,2%, soit la plus forte baisse hebdomadaire depuis la crise financière de 2008.