Elles «seront sans conséquences sanitaires et environnementales» et «si minimes» qu’elles ne pourront être détectées dans l’environnement que par des mesures d’échantillons effectuées dans des laboratoires spécialisés, ajoute l’IRSN.
Selon la projection, le panache a recouvert vendredi la plus grande partie de l’Amérique du Nord et le nord-est de la Sibérie. Il passait samedi sur l’Atlantique Nord et devait atteindre les Antilles et le territoire de Saint Pierre et Miquelon. Il pourrait arriver au dessus de l’Hexagone le 23 ou le 24 mars.