L'A2 est magnifique et ses atouts ne manquent pas.
Surtout la releve serait assure vu la qualite des intervenants qui y travaillent.
L'esa (European Space Agency / L'Agence Spaciale Europeenne ici l'Estec ) participe a ce projet Lapcat
( Long-Term Advanced Propulsion Concepts and Technologies).
L ' A2
Constitué d'une cellule mince et élancée, mesurant près de 140 m de long (contre 73 m à l'Airbus A380) et 7,5 m de diamètre, l'appareil serait pourvu d'ailes delta disposées au milieu de la cellule, avec deux réacteurs sur chacune d'entre elles.
Les reacteurs sont actuellement etudies par la société britannique Reaction Engines, partenaire du projet.
Elle met au point le prototype de recherche répondant au nom de Scimitar. Ce propulseur combine les fonctions turbo, pour les décollages/atterrissages et le survol des terres habitées à vitesse subsonique, et superstato au-delà de la vitesse du son.
Le carburant sera l'hydrogène !. Celui-ci est de loin le plus efficace énergétiquement, le moins lourd et le moins dommageable à un environnement stratosphérique (vol prevu a 20.000 m d'altitude) fragile, puisque sans émission carbonée. Il est aussi la source cryogénique utilisée pour le refroidissement du réacteur.
La cabine des passagers, située au-dessus des ailes, serait longue de 32 m et la quasi-totalité du reste du fuselage serait occupée par les réservoirs d'hydrogène, de part et d'autre de la cabine.
Avantages : Bruxelles-Sidney en quatre heures ? L'horizon d'une telle prouesse se situe en 2023. Avec, en principe, un billet dont le prix moyen devrait être comparable au tarif actuel de ce vol en business class !.
Pour comparaison avec l'A380 ...