Un tremblement de terre, un tsunami, une catastrophe nucléaire... Que dire de plus. La coupe est pleine et les mots vains.Se redire juste ceux d'Haruki Mirakami dans "Kafka sur le rivage" :
"Je me lève, je vais à la fenêtre et regarde le ciel.Et je pense au temps qui ne reviendra pas. Je pense aux rivières, aux marées. Je pense aux forêts et aux sources. A la pluie, aux éclairs. Aux rochers. Aux ombres.Et tout cela est à l'intérieur de moi".
De profundis.