Mister Victor Hugo, chapeau bas et respect !
Mars 1871, Victor Hugo démissionne de l’Assemblée nationale.
Il était enchanté de quitter cette Assemblée qu’il détestait, en claquant la porte derrière lui.
Pourtant il avait le regret des choses non faites et notait dans son carnet :
«Actes projetés que ma démission m’a empêché d’accomplir :
-Abolition de la peine de mort,
-Réforme de la magistrature,
-Actes préparatoires des Etats-Unis d’Europe,
-Instruction gratuite et obligatoire,
-Droits de la femme. »
(Olympio, André Maurois, Hachette, 1958)
Génial mais aussi prophète, le Toto !