Соeurh : pоème LА VILLЕ NЕ SUPPОRTЕ PLUS NОS ÉВULLITIОNS

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Sous ton charme, j'ai tendu ma main, je suis à toi ton esclave, à mon épaule tu t'accoudes. Ma poitrine réchauffe l'avenir dans ton coeur en magie d'espoir et d'imagination en réel cadeau. Je t'écoute seul moi présent même lointaine à cette vie muette à tes sentiments. Ou veux-tu que je t'emporte ? Dans la rue, je sens plus ton parfum qu'essences, goudron, et souffles répugnants, côte à côte on s'étrangle. Allons prendre ta pizza aux crevettes préférées. À table, un malaise renverse ton verre de jus, les croissants intrus regards coupent la soif aux tendresses pensées. Tu me tends ta frêle main, soudain ton portable vibre, puis s'envole en mille morceaux. Merde quoi encore ? Quoi faire? Allons au jardin, voilà un banc enfin libre sous l'ombre d'un sapin, bizarre ? Le rossignol à ça faim, son chant n'est plus attentif, ni l'envie de rougir sa gorge, sombre sous les branches tordues de douleurs et folie mensonges de x, y, z saignant son écorce. J'ai interdit de graver mes initiales auprès des âmes de trahison, ce mal égo Seul le lilas aima savourer l'honneur à porter mes blanches lettres. Quoi te dire ? Ou en parler ? De mes poussées câlines, ce gout poétique d'antan a disparu, les endroits marquant notre présence, musique crescendo et aire excitante ne sont plus assistantes. Tu étais ravie de cette entrevue, j'en étais déçu.

((Un ami a l'oeil ruse m'as dit : tu aurais pu l'emmener sur le sable doré ( j'ai été vraiment gêné et jaloux que les feux yeux du désir compte ses graines de beautés))