Valérie Pécresse souhaite rapatrier les membres de la communauté universitaire française actuellement au Japon, et met en place une cellule d’aide pour les étudiants japonais en France
Valérie Pécresse a demandé dès hier aux services du ministère de l’enseignement et de la recherche de se mettre en lien avec les établissements d’enseignement supérieur et les organismes de recherche pour les aider, et faciliter leurs démarches auprès de l’ambassade de France à Tokyo en vue du rapatriement de tous les membres de la communauté universitaire actuellement au Japon.
Elle a demandé parallèlement au Cnous de mettre en place une cellule d’aide d’urgence pour les étudiants japonais en France dont les familles auraient été victimes du séisme ou du tsunami, selon des modalités identiques à celles mises en place pour les étudiants d’Haïti il y a un an.
Elle réunira demain la Conférence des présidents d’université (CPU), la Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI), la Conférence des Grandes Écoles (CGE), et des représentants des organismes de recherche, afin de faire le point sur la situation des étudiants, enseignants-chercheurs et chercheurs français présents au Japon.