140 ans après la Commune de Paris, pas un mot dans les médias, mais tout pour le FN, Le Pen et le débat sur l'Islam

Dans deux jours, le 18 mars, celles et ceux qui n'ont pas oublié la Commune de Paris, annonciatrice des meilleures évolutions de la République, de la 3ème à nos jours, pourront fêter, comme avec les Amis de la Commune à Paris, le début de "l'insurrection" populaire, civique. De 17 heures à 20 heures, place de l'Hotel de Ville à Paris, un spectacle va rappeler les moments emblématiques de cette Histoire d'un peuple qui se lève et que de terribles ennemis haineux feront exécuter partout, à la fin du mois de mai (nous y reviendrons). Pendant les deux prochains mois et jusqu'à la fin de l'année, des Parisiens et d'autres vont rendre hommage à ces hommes et à ces femmes qui ont annoncé la République sociale de la Libération, de 44-45. 140 ans après, la grande bourgeoisie qui a fait massacrer les Communards par milliers, qui a fait juger, condamner à mort des milliers d'autres, qui a fait exiler tant d'autres, dont Louise Michel, n'a pas lâché prise, bien au contraire, tant, depuis cette époque, les profits ont grandi, se sont démultiplié, même si c'est au détriment de tant et de beaucoup, êtres humains et êtres vivants. Son acharnement à rejeter toute démocratie sociale réelle a empiré et elle cherche à enfermer les citoyens dans des tunnels perceptifs, des parcs médiatiques humains où la haine de "l'étranger" permet de ne jamais parler des réalités économiques nationales et internationales. Pendant deux mois, il faudra et nous le ferons, rendre hommage à tous les Communards, citoyens du monde, français et les autres, Polonais, hongrois, allemands, italiens, etc.