Tiens, je serai encore capable de vous la siffler ! Quoi donc ? La musique de Dim, pardi ! Avec ses jolies filles des années 70, ses scénarios amusants… Aussi, lorsque j’ai reçu une invitation pour un brunch de la marque, c’est un œil gourmand et une pointe de nostalgie que je l’ai observée. Et là, patatras ! Cinq gaillards qui me défient du regard, fiers de leur boxer-shorts comme des footballeurs italiens. Fiers, mais grotesques. Parce qu’ils ont beau s’appeler Henry Chavancy, Maxime Mermoz, Aurélien Rougerie, Alexis Palisson et Thierry Dussautoir, être costauds comme des ouvriers ukrainiens, un gus en calebard qui garde ses chaussettes, c’est toujours ridicule. Pub, ou pas.
Enfin, deux dernières réflexions. Jusqu’à présent Aurélien Rougerie figurait bien dans un spot télé pour Dim, mais noyés au milieu d’autres hommes et sans que jamais son nom soit cité. Quant à Henry Chavancy, sa présence aux côtés de ces 4 internationaux a-t-elle valeur de sélection ? Vu la logique des sélections, il est légitime de interroger.