La crise de l’école est flagrante, généralement reconnue, mais le constat n’apporte aucun remède stable.
Ce n’est pas une question de moyens mais d’idéologie, de mentalité, de personnalité. Une prise de conscience collective et une remise en cause dans l’intérêt de l’enfant réel (souvent perdu de vue) seraient bien nécessaires.
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Dans une situation complexe, il faudrait que chacun s’y mette et ne travaille pas à l’envers, en révolution d’adultes permanente.
Un membre de SOS Éducation