Si la consommation risque de pâtir de ce phénomène, on connait au moins deux personnes qui se réjouira de la prudence (ou de la gourmandise) des entreprises. La premières est Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne (BCE). Ce dernier craint un "effet de second tour". C’est-à-dire que, dans un contexte inflationniste, une hausse des salaires entrainerait dans un second temps une hausse des prix, entrainant alors l’économie dans un cercle vicieux. La deuxième personne est notre ministre de l'Economie, Christine Lagarde. Elle estime qu’il ne doit y avoir hausse des salaires que s’il y a hausse de la productivité.
Cac 40 : 80 milliards d’euros de bénéfices mais pas de hausse de salaires en vue
Publié le 14 mars 2011 par VincentpaesSi la consommation risque de pâtir de ce phénomène, on connait au moins deux personnes qui se réjouira de la prudence (ou de la gourmandise) des entreprises. La premières est Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne (BCE). Ce dernier craint un "effet de second tour". C’est-à-dire que, dans un contexte inflationniste, une hausse des salaires entrainerait dans un second temps une hausse des prix, entrainant alors l’économie dans un cercle vicieux. La deuxième personne est notre ministre de l'Economie, Christine Lagarde. Elle estime qu’il ne doit y avoir hausse des salaires que s’il y a hausse de la productivité.