Ce film américain de Karen Goodman et Simon Kirk raconte qu’au cœur de Tel Aviv, il y a une école exceptionnelle où les enfants de quarante-huit différents pays et d’origines diverses se réunissent pour apprendre.
Nombre de ces enfants arrivent à l’école de Bialik-Rogozin fuyant la pauvreté, les risques politiques et même le génocide.
Là, aucun enfant n’est un étranger. Ce film suit le combat de différents élèves pour s’adapter à la vie dans un nouveau pays, s’ouvrir aux autres, et partager leurs histoires: Mohammed, un adolescent de seize ans du Darfour, témoin de l’assassinat de ses grands-parents échappé seul à travers l’Egypte jusqu’à Israel.
N’ayant jamais été à l’école avant, son esprit aiguisé et sa grande détermination lui permettent de rattraper les années d’études qu’il n’a jamais suivies. Johannes arrive ) Bialik-Rogozin après avoir passé la plus grande partie de sa vie dans des camps de réfugiés à travers le Moyen-Orient.
Son père lutte pour obtenir un visa de travail pendant que son fils de douze ans s’efforce de suivre des cours pour la première fois…
Selon les créateurs du film, l’école qu’ils ont choisi se distingue de par la diversité de culture des élèves, donnant à chacun d’entre eux une position particulière au sein de l’école.
“Avec des efforts considérables et un véritable dévouement, l’école apporte le soutien nécessaire à ces enfants qui ont besoin de faire table rase du passé”, ont-écrit les créateurs du film sur le site officiel.