Mais voilà la réalité.
Udi et Ruth Fogel, et trois de leurs enfants, Yoav, Elad et Hadas, ont été sauvagement assassinés le 11 mars 2011 au soir, à Itamar en terre d'Israël de Samarie par deux terroristes palestiniens du mouvement qui osent s'appeler les "Combattants de la Liberté", lié au Fatah.
Ils ont tous été massacrés.
Yoav, 11 ans a été poignardé, Elad, 4 ans a été poignardé au niveau du coeur, Hadas, 3 mois a été égorgé.
Les funérailles ont eu lieu au cimetière Givat Shaul à Jérusalem.
Un ami de la famille a déclaré "Un pareil acte barbare, seuls des animaux en sont capable". Ce n'est d'ailleurs même pas le cas.
Ces terroristes ne sont même pas des animaux.
Le moment était d'une immense émotion pour plusieurs milliers d'Israéliens venus se recueillir devant les cinq cercueils, deux de taille normale, et trois petits.
Il a poursuivi "Lorsque vous imaginiez que ce cercle de la terreur s’était refermé il y a 66 ans lorsque le sang des nourrissons coulait comme de l’eau et qu’un million et demi d’enfants ont étés dévorés par des bêtes humaines… Il y a 66 ans, nous avons déclaré un État, obtenu notre indépendance et créé l’enviable Israël Defense Force. Et malgré cela, le cercle de la terreur et la rivière de sang continue de couler et nous sommes impuissants".
Il a justement affirmé "Nous ne céderons pas, nous n’abandonnerons pas, nous sommes retournés à la terre de nos pères, et cette terre, c’est notre maison. Nos enfants doivent retourner dans nos frontières et rien n’empêchera notre foi de continuer notre chemin".
Rafi Ben-basat, un ami d’enfance du père a pour sa part déclaré "Il est temps pour la Nation d’arrêter de croire en des jours meilleurs. Il faut, de suite, arrêter toute concession et agir".
La famille Fogel avait été expulsé de la bande de Gaza lors du retrait d’Ariel Sharon il y a 5 ans.
Cette famille avait refait sa vie en Samarie, terre d'Israël depuis toujours et qui doit le rester.
Et aujourd’hui, cette famille est victime de l'ignoble barbarie palestinienne.
Et un cri résonne encore, celui d’Yishai Fogel, un nouvel orphelin, que les terroristes n'ont pas vu, ainsi que deux autres enfants de la famille Fogel, lors du massacre, qui en pleurant, criait "je veux mon père!"
Ils ont distribué en signe de joie, des gâteaux et des bonbons comme c’est le cas à chaque fois qu’un civil juif est assassiné par un palestinien.
Si la barbarie devait avoir un autre nom, ce pourrait être Gaza.
Peut-on imaginer des "colons" juifs aller égorger des bébés "palestiniens" dans leur sommeil? Voilà la différence!
Seigneur, punis les barbares.