Résumé de la Fnac : Au lendemain du 11 Septembre, Henry, psychiquement fracassé par les événements, tombe entre les mains d’une organisation criminelle très particulière. En forme de dissection subtile du corps complexe et monstrueux que forme une réalité mise en pièces par un traumatisme, un roman noir décalé où Chandler rencontrerait Escher pour donner une interprétation inédite de l’après 11 Septembre.
En effet, il est impossible pour moi de faire un résumé. Je n’ai rien compris à ce livre. J’ai continué au fil des pages jusqu’à la fin pour tenter de comprendre et essayer de voir où nous emmenait l’auteur. Sauf que, pour moi, il n’a pas réussi.
Le 11 septembre est sous-entendu, la date n’est jamais prononcée directement.
Dans ce livre, deux histoires où se mêlent les deux mêmes personnages.
Henry a tout perdu, il vit dans la rue et vole. Il est désorienté, seul, il vit l’enfer du néant. Il rencontre Mr Kindt, un vieux monsieur pour qui il aura beaucoup d’amitié. Ils partagent presque tout ensemble, repas, musées, cinéma. Mr Kindt lui donne même quelques billets de 20 dollars. Ils vont même jusqu’à partager la même femme. Mr Kindt attend d’Henry beaucoup, qu’il rejoigne son organisation, commettant de faux meurtres. Mais il ne lui suggère pas, il attend qu’Henry lui prouve sa reconnaissance. Henry passe aux actes jusqu’au véritable meurtre.
Entre chaque chapitre de cette histoire se mêlent d’autres chapitres où Henry est à l’hôpital. C’est vrai qu’en lisant la fin, on sait où se trouve Henry et pourquoi il s’y trouve. De quoi a-t-il été opéré ? Henry oscille entre la folie et la conscience. Surgissent des personnages morts dont Mr Kindt. Il se réinvente son histoire pour peut-être tenter de démêler la vérité.
Je n’en sais absolument rien.
Alors qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est faux ? Si vous arrivez à démêler les pages de ce roman, dit noir, bravo à vous !
Nous avons différents personnages. Sont-ils là pour provoquer la chute d’Henry ? Un passé obscur se mêle à ça dont Henry voudra connaître.
On a affaire à de faux-semblants, des noms dérobés à des morts.
Et New York ? New York nous est présentée de telle façon que nous n’avons pas envie de vivre dans une telle ville. Je n’ai pas ressenti l’appartenance, l’attachement à cette ville comme nous le démontrent les New-Yorkais lorsqu’ils parlent de leur ville.
Je remercie Obiwi pour cette découverte.
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éééCa m’a l’air embrouillé tout ça! Bon weekend!é&cpage;
Ola, effectivement c’est à n’y rien comprendre…&cpage;
@ Plume, tu y comprendrais quelque chose toi@ Aurélie, pour moi oui
é&cpage;