La Première secrétaire était en déplacement le 9 mars dans la Loire et le Rhône pour soutenir les candidats aux élections cantonales. A Saint-Etienne le matin, Martine Aubry a réaffirmé l'enjeu de ces cantonales : faire du département un réel bouclier social.
Les départements doivent rester un bouclier social par PartiSocialiste «Le sujet aujourd'jui c'est de montrer que bien sûr en 2012 nous préparons un projet pour redresser la France et retrouver les valeurs de la République mais que dès maintenant il faut se battre» parce qu'aujourd'hui «le conseil général c'est le bouclier social» a-t-elle expliqué. Martine Aubry a indiqué la mission du département qui doit «remettre des services publics partout» et souligné son importance en matière d'emploi, bien que ce ne soit pas normalement son rôle. Mais face à un président «qui a abandonné la lutte contre la crise», «le Conseil Général s'y met de manière extrêmement forte notamment en accompagnant les jeunes» a-t-elle détaillé. «Et puis le Conseil Général, c'est l'institution la plus proche de ceux qui sont les plus fragiles», les personnes qui sont aux RSA, les personnes handicapées et les personnes âgées a-t-elle rappelé.
Cantonales: Martine Aubry dans la Loire et le... par PartiSocialiste «Juste après les cantonales on aura la réponse du gouvernement sur la dépendance» a rappelé Martine Aubry. Avant de développer le programme des socialistes pour accompagner au mieux tout au long de la vie, et de fustiger ce que sera la réponse du gouvernement : «la dépendance c'est pas la solidarité ça doit être des assurances privées». «Entre le national et ici le scrutin cantonal y a vraiment quand on est socialiste une continuité» a -t-elle expliqué. Ces élections cantonales «c'est un véritable enjeu parce que les Français ne peuvent pas attendre 2012, c'est maintenant qu'ils ont besoin de ce bouclier social» a-t-elle conclu. >> vidéo : Pourquoi voter aux élections cantonales des 20 et 27 mars ? >> Le contrat socialiste pour des départements qui protègent et agissent pour l’avenir. à lire :