La mère de Louise se meurt.Le cancer l’a d’abord grignotée puis n’en a fait qu’une bouchée. Louise découvre qu’elle est enceinte. Sans avoir eu le temps de le lui annoncer, Louise doit faire son deuil et se préparerà cette idée d’être mère à son tour. Mauvaise fille, mauvaise fille, là c’est moi qui le suis. Car oui, je l’avoue, j’avais des a-priori sur ce livre ou plutôt sur l’auteure. Justine Levy étant la fille d’un certain Bernard-Henri, j’étais restée bloquée sur son ascendance sans chercher à la lire. Bon, j’ai enfin réparé mon erreuret j’en suis bien contente ! Certains diront que Justine Lévy expose sa vie. Certes. Mais quand on le fait sans pathos et avec cette écriture, le résultat est plutôt réussi. Premier livre de cette auteure que le lis et je suis contente de ma découverte ! A travers le personnage de Louise, il s’agit bien entendu de Justine Levy . Et j’ai trouvé ce livre touchant. Même si elle auréole un peuson père (Ohé, Œdipe, es-tu là ?), elle décrit sa mère sans fard. Mieux, elle ne provoque pas la compassion ou la pitié chez le lecteur. On découvre que sa mère était l'opposé d'une maman gâteau. Sans s’appesantir ou en faire de trop, elle nous décrit la peur de la mort et celle de devenir mère. On sent toute cette culpabilité qui véhicule le spectre d’être une mauvaise mère. L’écriture est vive, rythmée, franche et viscérale. Et là je dis bingo pour ce point ! Pas de temps mort, on se prend des émotions constrastées en pleine figure. J'ai envie de dire peu importe où est la réalité, la part de fiction car j'ai souri et j’ai étéémue. Donc mission accomplie ! Les billets d’Antigone, Canel, MyaRosa
La mère de Louise se meurt.Le cancer l’a d’abord grignotée puis n’en a fait qu’une bouchée. Louise découvre qu’elle est enceinte. Sans avoir eu le temps de le lui annoncer, Louise doit faire son deuil et se préparerà cette idée d’être mère à son tour. Mauvaise fille, mauvaise fille, là c’est moi qui le suis. Car oui, je l’avoue, j’avais des a-priori sur ce livre ou plutôt sur l’auteure. Justine Levy étant la fille d’un certain Bernard-Henri, j’étais restée bloquée sur son ascendance sans chercher à la lire. Bon, j’ai enfin réparé mon erreuret j’en suis bien contente ! Certains diront que Justine Lévy expose sa vie. Certes. Mais quand on le fait sans pathos et avec cette écriture, le résultat est plutôt réussi. Premier livre de cette auteure que le lis et je suis contente de ma découverte ! A travers le personnage de Louise, il s’agit bien entendu de Justine Levy . Et j’ai trouvé ce livre touchant. Même si elle auréole un peuson père (Ohé, Œdipe, es-tu là ?), elle décrit sa mère sans fard. Mieux, elle ne provoque pas la compassion ou la pitié chez le lecteur. On découvre que sa mère était l'opposé d'une maman gâteau. Sans s’appesantir ou en faire de trop, elle nous décrit la peur de la mort et celle de devenir mère. On sent toute cette culpabilité qui véhicule le spectre d’être une mauvaise mère. L’écriture est vive, rythmée, franche et viscérale. Et là je dis bingo pour ce point ! Pas de temps mort, on se prend des émotions constrastées en pleine figure. J'ai envie de dire peu importe où est la réalité, la part de fiction car j'ai souri et j’ai étéémue. Donc mission accomplie ! Les billets d’Antigone, Canel, MyaRosa