9 mars 2011
La mention du nom du traducteur sur la couverture d’un livre n’est pas encore une pratique courante en Europe, comme le démontre une récente étude de visibilité conduite parmi nos membres avec cependant des différences considérables entre les pays. Contrastant avec l’esprit ducopyright internationalet laRecommandation de Nairobide l’Unesco, les éditeurs continuent souvent à considérer les traducteurs littéraires comme des prestataires de service, non comme des auteurs. C’est pourquoi le CEATL a commencé une collection de couvertures de livres publiés en Europe, montrant qu’une couverture qui mentionne le nom du traducteur n’est pas nécessairement inesthétique. Cette collection sera peu à peu augmentée. Editeurs et traducteurs, n’hésitez pas à nous envoyer vos couvertures de livres!