Je pense souvent qu'il est parfois bien dommage que certains lieux soient laissés à l'abandon. C'est le cas du dispensaire Jouye-Rouve-Taniès.
Situé à l'angle des rues Stendhal et des Pyrénées, ce beau bâtiment affiche tristement son inutilité.
Édifié en 1902 par l'architecte Louis Bonnier, cet établissement soignait, comme le précise l'inscription sur son fronton, "les maladies de la poitrine", comme la tuberculose.
Il est aujourd'hui inscrit sur la liste des Protections de la Ville de Paris (PVP). Il fait partie intégrante du patrimoine parisien et ne pourra pas être démoli et les armoiries des façades devront être conservées.