La chef de l’état en a tout de même profité pour répéter sa profession de foi et ce qu’elle espère pour son pays : « je vais vous dire ce que je veux pour l’Argentine. Je veux qu’on atteigne de nouveaux objectifs et que nous construisions des débats de haut niveau dans notre société. Je ne veux plus de ces discussions que nous avons déjà traité des milliers de fois. Regardons vers l’avenir et non le passé ! »
Interrogée sur le rôle de l’université, Cristina Kirchner a rappelé « le rôle d’égalité sociale et l’espoir immense » représenté par la formation des jeunes en Argentine. Il y a une dizaine de jours, Cristina Kirchner, lors de l’ouverture des sessions du parlement, avait interpellé les caméras de télévision par un cinglant : « m’avez-vous entendu dire que je souhaitais me représenter en Octobre ? » Pour le moment, Cristina est la reine du suspense, comme un certain DSK en France.