Les niveaux d'hormones de stress dans le sang de chaque animal ont ensuite été mesurés, et ont permis d'observer une augmentation du nombre de neurones dans l'hippocampe des mâles les plus actifs. Cela montre que les cellules sont particulièrement sensibles aux expériences agréables. En plus du nombre de neurones plus important, les mâles les plus actifs disposaient également d'une augmentation plus importante du nombre de connexions effectuées entre les cellules.
Parallèlement, chez les rats mâles moins actifs sexuellement, le stress était plus important. Les rats vierges avaient eux tendance à manger d'avantage que les rats actifs sexuellement. Cette étude n'a pas été portée à dimension humaine, mais pourrait induire le fait que le sexe permet de réduire le stress, et de développer le cerveau.Info ZigonetMagazine Sexo
Une nouvelle étude portant sur l'impact du sexe sur le cerveau a été réalisée sur des rats. Ainsi, les scientifiques à l'origine de l'étude ont séparé deux groupes de mâles et de femelles. Les spécimens du premier ont cohabité ensemble durant deux semaines, tandis que l'autre groupe de rongeurs n'a pu se rencontrer qu'une seule fois.