La Respiration de la Terre

Publié le 09 mars 2011 par Hugues-André Serres

La Respiration de la Terre

En allant sur un lien donné par Pierre de Chatillon, j’ai déniché (Hélios) ce texte « en anglais » que j’ai eu plaisir à traduire. On dit que les recherches en Russie ne sont pas particulièrement exportées ailleurs, et cet article en est la démonstration. On peut soupçonner que notre Terre mère « Vit » et « Respire » à son rythme. Des scientifiques russes nous expliquent aussi qu’elle réagit aux activités humaines. Cet article présente pour la première fois au monde anglo-saxon d’importants travaux de l’astrophysicien russe Lugovenko. Si comme nous le dit la tradition mystique, la Terre est un système vivant, quel procédé utilise-t-elle pour l’acte le plus fondamental de la vie connu sous le nom de respiration ? Des oscillations dans le flux d’énergies subtiles entre la Terre et le Cosmos pourraient-elle témoigner d’une preuve de la respiration de la Terre ?

Tel a été le raisonnement de l’astrophysicien russe Vladisvlav Lugovenko. Et au cours d’une vie de recherche, il a mis au point des expériences qui permettent de détecter et de mesurer précisément une telle oscillation dans ce flux. D’autant plus que ses expériences ont pu être renouvelées. Au cours de la dernière décennie, les résultats des expériences de Lugovenko ont révélé que non seulement la terre respire – avec des similitudes frappantes avec le mode respiratoire des êtres humains – mais que sa respiration est affectée dynamiquement non seulement par les événements du Cosmos, mais aussi par la pensée humaine.

Qu’est donc cette «respiration» de la Terre ?

Vladisvlav Lugovenko a tout d’abord découvert qu’il existe un rythme quotidien. La respiration est calme pendant la nuit. Puis quand la Terre fait sa rotation vers le soleil levant, le schéma particulier et l’amplitude de ce jour-là déclenchent une sorte de vague autour de la terre, qui varie progressivement en fonction d’autres influences comme les taches solaires, les perturbations météorologiques, les tremblements de terre et l’activité humaine. Il ya des fluctuations en fonction des saisons. Par exemple, la respiration de la Terre est plus calme en hiver. Et il apparaît qu’il existe des cycles respiratoires plus longs – des périodes de l’année – qui semblent être affectés par des corps célestes comme les comètes.

Lugovenko définit la respiration de la Terre comme « des variations temporaires d’un champ cosmo-tellurique » sous-entendant deux respirations, l’une « globale » et l’autre « locale« . « La respiration « Globale » se compose de toutes les méthodes possibles pour recevoir, traiter et se procurer de l’énergie provenant de l’espace grâce à un système complexe de réseaux et de chakras de différents calibres. La respiration  »locale » peut être mesurée par un changement dans la largeur habituelle du réseau Hartmann ou des grilles de Curry (système apparenté au réseau Hartmann, du nom de son découvreur, ndt).

Le concept d’un Espace d’énergie universel dont peuvent se servir ceux qui prennent en compte les phénomènes supersensoriels a de profondes racines dans les cultures de tous les peuples. Les textes sacrés indiens et bouddhistes décrivent cette ancienne énergie de l’Espace et la désignent par la syllabe mystique « Aum« . Cette syllabe provoque une oscillation dans le cerveau qui permet aux différents chakras d’accepter l’énergie de l’Espace. Nous appelons l’interaction de cette énergie avec la Terre un « champ cosmo-tellurique », défini comme une substance par laquelle interagit un pouvoir vital entre l’Espace et la Terre.

Le champ cosmo-tellurique est un phénomène à la frontière entre le monde subtil (non manifesté) et le monde de la matière (manifesté) . Le champ cosmo-tellurique a de nombreuses propriétés intéressantes, comme les tourbillons de vent, la résonance, et une propagation quasi-instantanée sur de grandes distances (du moins dans les limites du système solaire). » Cette énergie peut être perçue par des personnes hautement sensibles et grâce à un équipement spécialement conçu. Chaque contributeur donne sa propre détermination des qualités du champ qu’il recherche.

Comment est-elle mesurée ?

Comme cette mesure est une tentative innovante pour la science occidentale, et parce que les définitions et les unités de mesure sont encore à l’étude, les chercheurs ont créé chacun leurs propres moyens pour mesurer cette énergie. Lugovenko utilise deux principaux outils. Le premier est une paire de capteurs – l’un en cuivre (placé sur un vortex positif) et l’autre une  »pierre néphrite » = silicate de magnésium (placé sur un vortex négatif, ou sombre). Chacun de ces capteurs est suspendu par un fil au-dessus d’un graphique en étoile, et chacun va dans des directions opposées – c’est à dire l’un dans le sens horaire et l’autre dans le sens antihoraire.

À des intervalles déterminés par la rapidité des changements dans la direction et l’amplitude, Lugovenko observe et enregistre l’heure et la position des capteurs dans son registre de laboratoire. Son deuxième outil de mesure est l’utilisation de baguettes de sourcier et d’un pendule, dont il a vérifié la précision pendant des années en comparant leurs résultats à ceux de l’instrumentation électronique. Il utilise des baguettes de sourcier en cuivre pour localiser les vortex d’énergie positif et négatif. Lorsque j’ai visité la maison de Lugovenko en-dehors de Moscou, il m’a montré sa technique. Il se concentre d’abord, puis commence à marcher à travers la pièce en tenant ses baguettes dirigées devant lui. À un mètre cinquante environ de l’endroit où il a démarré son expérience, les baguettes se sont brutalement séparées de chaque côté. Il me les a ensuite tendu et j’ai pu obtenir les mêmes résultats.

Lugovenko entretient aussi des liens avec d’autres observateurs à travers le monde, lui permettant de comparer et valider ses résultats de manière globale. Je lui ai demandé pourquoi, en tant que chercheur principal d’un institut de recherche prestigieux, il menait ces expériences à son domicile. Avec un sourire amusé il m’a répondu (par le biais d’un traducteur), « Nous avons déjà utilisé des instruments très perfectionnés, mais avec la perestroïka les budgets ont été réduits, et cette ligne de recherche a été supprimée. J’ai donc continué à la maison, car c’est important . « 

Les variations de respiration de la Terre

Après avoir cartographié les caractéristiques générales de la respiration de la Terre, Lugovenko a commencé à examiner les variations et les anomalies. Le texte ci-dessous provient de deux de ses articles traduits:

1. L’activité solaire :

L’activité maximale de respiration de la Terre se produit lorsqu’il y a un minimum d’activité solaire.

2. La comète Hale-Bopp :

La toute première inhalation de la Terre après sa nuit de sommeil est très intéressante. Elle donne le ton de l’intensité pour la journée entière et dépend essentiellement de la proximité de la période en question avec le plus long jour de l’année ( le 22 juin dans l’hémisphère nord). Plus on se rapproche de la date du 22 juin, plus la première inhalation matinale de la planète est puissante. Depuis 1992, cette manifestation est devenue chaque année de plus en plus forte – jusqu’à 1997. Avant l’apparition de la comète Hale-Bopp, la période habituelle de la respiration de la Terre pour les latitudes moyennes était de 30 à 40 minutes. Fin mars 1997, elle est descendue à environ une minute ! La valeur était si faible qu’elle était devenue difficile à mesurer. Pendant presque une année entière, la terre a respiré très fréquemment. Les gens l’ont senti. Les jours les plus intenses (fin mars et début avril, lorsque la comète Hale-Bopp a été la plus proche de la Terre et du Soleil) il y a eu de nombreux appels vers les urgences, et de nombreuses personnes ont eu des problèmes santé.

3. Les fêtes religieuses et la prière :

Le Dr Prabakar Poddar, directeur de l’Institut des Applications Géophysiques en Inde, a rapporté à plusieurs reprises que près de Madras le maximum de mesures positives du champ cosmo-tellurique se produit lors des fêtes religieuses.

Note : Lugovenko a trouvé des modifications surprenantes du champ cosmo-tellurique suite à la Méditation mondiale pour la paix à Bagdad en octobre 2002 (voir ci-dessous).

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Quelles en sont les conséquences ?

Lugovenko fournit des documents scientifiques clairs sur la  »respiration » de la Terre et sur le fait que cette respiration réagit à une stimulation – ceci étant une des définitions de ce qui fait la vie. Plus significatif encore, il a montré que la respiration de la Terre répond à l’intention de l’homme ; que nous l’humanité, par nos pensées et nos prières, affectons radicalement la Terre.

Comment l’énergie humaine affecte la respiration de la Terre ?

Le texte suivant est tiré d’un article publié par VN Lugovenko, MI Orlyuk, et NA Yudina. A travers les démonstrations qu’une activité humaine affecte la respiration de la Terre, les exemples qu’ils décrivent nous donnent encore une autre preuve de l’effet positif de la méditation et de la prière mondiale.

Enquête lors du Sommet mondial sur la paix et le temps du 22 au 27 juin 1999

Lors du Sommet mondial au Costa Rica sur la paix et le temps en 1999, l’un des chercheurs a fait un certain nombre d’expériences et des enquêtes sur les champs vitaux et cosmo-telluriques au Costa Rica. Du 22 au 28 juin 1999, à San José, nous avons enregistré les variations dans le temps du champ cosmo-tellurique au moyen de capteurs de torsion. Nous avons enregistré l’angle de torsion de chaque capteur. L’un d’eux, la pierre néphrite, a été placé dans une zone transfrontalière de Hartmann négative. Le second, un capteur de cuivre, a été mis dans la zone positive. Pendant les trois premiers jours du Sommet, du 22 au 24 juin, les variations temporelles du champ cosmo-tellurique étaient normales et le coefficient K était de 1-2. Mais passé le 24 juin, la situation a considérablement changé. L’indice K de 06 h25 a dépassé la norme de plus de 100 % (de 10 à 24). Cela témoigne du même type d’incroyable augmentation de contact bioénergétique entre la Terre et le Cosmos qui se manifeste habituellement de manière très nette lors des fêtes religieuses.

Nous pensons que le Dr Ashok, directeur de l’Institut de Dialogue Global, a raison de dire, que  »Le travail des commissions sur les sommets mondiaux pour la paix conduit graduellement à penser qu’un dialogue s’instaure entre le Cosmos et la Terre …. et qu’il devient de plus en plus intense. »

Fait intéressant, les informations à ce sujet ont été retirées au bout de deux ans.

Enquête sur la méditation pour la paix mondiale à Bagdad en octobre 2002

Au début d’octobre 2002, nous avons appris que la méditation pour la paix mondiale se ferait le 12 du mois à 21h00, heure de Moscou : une veillée pour une paix véritable et permanente dans le monde entier. Cette méditation a été initiée par James Twyman en relation avec les événements d’Irak. Nous avons supposé que la respiration de la Terre pourrait varier d’une certaine manière sous l’influence de cette méditation de tant de milliers de personnes. S’attendant à ce que il y ait un flux très puissant de vibrations à travers le monde, nous avons mesuré les variations de la respiration de la Terre. Et ce flux a vraiment eu lieu !

La respiration de la Terre a été mesurée à proximité de Moscou, en utilisant des capteurs de torsion en deux points différents dans une même pièce. En même temps, le flux de la respiration de la Terre sur Bagdad a été mesuré par un expérimentateur à l’aide d’un pendule sur une carte de l’Irak. A 20h45, heure de Moscou, le capteur de cuivre a commencé en douceur une rotation d’avant en arrière avec une amplitude de 7 à 8 degrés. Le capteur a continué en permanence son balancement, jusqu’à 22h30, heure à laquelle l’expérimentateur a cessé d’enregistrer pour la nuit.

Avant 21h00, le pendule au dessus de Bagdad a indiqué une énergie négative sur la ville. À 21h00, il indiquait toujours zéro. Puis, 15 minutes plus tard, l’énergie a brusquement basculé vers une indication positive importante. Elle montrait encore une indication positive quand elle a été mesurée le lendemain matin à 8 heures.

Une méditation similaire le 9 février 2003

Une méditation collective similaire a été faite avec plus de participants le 9 Février 2003, à 20h00, heure de Moscou. Le même effet a été observé une fois de plus. Le capteur de cuivre a montré une amplitude de 10 degrés en une heure après le début de la méditation, mais les mesures ont été interrompues. Le Dr MI Orlyuk a fait des observations à Kiev, en Ukraine, dans le même temps, avec l’aide d’un capteur de pierre. Avec ce capteur, il a observé des rotations de 80 degrés à 20h50.

Un autre chercheur, le scientifique Richard Benishal, a effectué des mesures dans le même temps sur un Biomètre, appareil qui mesure en angströms la vitalité ou force de vie d’une personne ou d’un endroit. Les Angströms sont des unités de lumière émises par tous les êtres vivants et les lieux physiques. S’il y a un mal-être ou une faible énergie, le Biomètre enregistre une lecture faible, en opposition à des énergies élevées. Benishal dit qu’une mesure neutre tourne normalement autour de 6500 angströms, mais qu’il a effectué des mesures de près de 7000 après que des méditations puissantes aient eu lieu dans une zone. Cependant, la mesure du foyer de la veillée se situait entre 9000 et 9500. Richard a dit qu’il n’avait jamais vu auparavant une concentration aussi élevée.

(Juste pour information à ce propos, voir le Film avatar)

Ces exemples montrent que les méditations collectives provoquent de très forts changements de force vitale dans l’espace ambiant. Ces changements sont ressentis par toutes les personnes qui ont une sensibilité accrue. Plus les gens sont à la source de ces variations, plus fortement ces variations se font sentir. Si tous les gens qui méditent dirigeaient leurs pensées vers un seul endroit, c’est là qu’il se ferait le plus sentir. Notre expérience dans la mesure de l’influence de la méditation collective par les capteurs de torsion montre qu’avec un grand nombre de personnes qui méditent simultanément, de fortes vibrations arrivent dans le champ cosmo-tellurique, ce qui influence sensiblement la respiration de la Terre. Grâce à ces capteurs, les fluctuations peuvent également être enregistrées.

Quelques conclusions

Ces expériences remarquables démontrent que lorsqu’un grand nombre de gens méditent on obtient un vortex dans le champ cosmo-tellurique d’une telle puissance qu’il s’inscrit de manière très fiable à l’aide d’instruments spéciaux. Ainsi, les effets d’un grand rassemblement de méditants peuvent être quantitativement enregistrés avec une objectivité élevée. Ce fait encouragera non seulement les gens à se joindre à de telles méditations spirituelles, mais aussi n’importe qui sincèrement désireux de paix et de bonheur sur Terre.

Marina Komissarova a écrit :  »Le meilleur moyen de transformer un athée en paroissien zélé est de lui faire étudier les fondements de la physique moderne. »

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Vladislav Lugovenko est depuis 25 ans directeur d’un laboratoire étudiant les anomalies des champs terrestres à l’Institut du Magnétisme Terrestre, de l’Ionosphère et de la Propagation des Ondes au sein de la communauté scientifique de Troïtsk, en dehors de Moscou. Depuis 10 ans il enquête sur les champs cosmo-telluriques et la respiration de la Terre, et a publié plus de 30 articles.

Sources : Traduction par HéliosMerci à Michelle pour avoir fait Suivre

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