Ceci dit on se demande vraiment ce que les danoises ont comme problème mystique avec leurs vagins.
Qui semblent-ils ont des aspects différents au point de les inquiéter et de nécessiter, le 8 mars précisément, a) la pose d’un photomaton ad-hoc et b) la publication salvatrice des photos ainsi obtenues sur internet aux fins de comparaison.
Heureusement que c’est l’Institut Goethe de Copenhague qui est à l’origine de ce confessionnal d’un nouveau genre.