PARCOURS SONORES
À LYON GUILLOTIÈRE
Collectif Si
Installation sonore dans le jardin partagé situé rue Cluzan
Les associations Brin D’Guill et Les Compostiers sont des acteurs culturels implantés dans le quartier de la
guillotière.
La première propose depuis 2004 des espaces jardinés accessibles à tous, favorisant rencontres et échanges entre habitants.
La seconde a quant à elle pour objectif la mise en place d’une filière de compostage sélectif, valorisant ainsi une démarche éco-citoyenne en permettant à chacun de réduire son impact
environnemental.
Julien Grosjean et François Lamy du Collectif SI, ont imaginé une mise en son du jardin particpatif situé rue Cluzan.
Des haut parleurs sont disposés de manière éparse en son sein, laissant entendre des paroles récoltées auprès des acteurs de ce lieu.
Parallèlement, des objets usuels liés à l’univers culinaire deviennent ça et là des sources sonores
interventions sonores lors des randonnées
poétiques
vendredi 11 et samedi 12 mars à 18h30
Menées à la tombée de la nuit, ces déambulations guidées seront l’occasion de présenter la ville sous un nouveau jour.
Sur les traces de Victor Borrador, poète public, vous découvrirez cinq spectacles et performances derrière les portes du quartier.
Un moment poétique d’une heure trente, où se révèle l’infini paysage urbain.
Les randonnées sont gratuites sur réservation : reservationpetitebiennale…@gmail.com
Le lieu de départ des randonnées est gardé secret, il vous sera révélé en temps voulu.
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Portée par l’association Lab[art]back, la Petite Biennale des Possible se place à la croisée des enjeux artistiques, culturels et sociaux qui façonnent l’espace urbain.
« Pendant plus d’une semaine, lab[art]back invite des artistes d’horizons différents à investir le quartier de la Guillotière avec pour objectif de donner à voir la
poésie de l’infini paysage urbain.
A partir des réalités d’un quartier au carrefour des identité et des patrimoines, tous interrogent les liens qui unissent l’habitant à son environnement, ils questionnent la mémoire et
l’expérience de la ville. De ces laboratoires artistiques naît une poésie protéiforme, qui se crée dans et avec la ville. »