Le 25 j’évoquais les fils RSS. Aujourd’hui, à la manière de l’oncle Paul qui nous racontait, dans Spirou, ses belles histoires, je voudrais vous parler de ma niouselèteur, ma lettre de diffusion, que j’ai appelée, dans une débauche d’originalité : la lettre du 26.
Pour les ceusses qui s’abonneraient à cette lettre, en écrivant leur adresse mél dans le masque de saisie prévu à cet effet, en cochant le bouton radio “suscribe”, en cliquant sur le bouton “send”, en ouvrant sa boîte mél, en cliquant sur le lien de confirmation, en respirant un bon coup et en buvant un petit café bien chaud, vous recevrez un mél à chaque nouvelle publication.
Lettres de diffusion, niewsletters, mailinglists, fils ATOM ou RSS relèvent de cette logique du PUSH qui amène l’information à l’utilisateur, selon ses souhaits et ses centres d’intérêt. Google Alerte propose ainsi à ses utilisateurs, d’être prévenu par mél, des nouvelles pages indexées par le moteur qui traitent d’un sujet qui vous est cher. Au lancement de ce service j’ai apprécié que les pages du JSL, notre quotidien local soit indexé par le moteur, ayant créé une alerte “Cluny” mais ce n’est plus le cas aujourd’hui, pour des raisons que j’ignore et je ne reçois plus guère que des informations relatives au musée du Moyen Age à Paris ou à un collège de la Réunion ! Pour d’autres mots clés que je conserve, l’outil conserve toute sa pertinence, d’autant que plusieurs sites importants sont épluchés par le moteur de recherche.On peut être tenté de préférer ce système d’alerte aux fils RSS, dans la mesure où on peut archiver les alertes et s’y reporter, au besoin. Toutefois, la limite réside dans l’excès de messages que ce dispositif génère parfois et dans la difficulté qu’il y a à hiérarchiser ces informations… Trop de méls tuent le mél ;-(