La première fois que j’entends Swann, aka Chloé L. c’était lors de mon passage à ConcertLive. Je recherchais des jeunes artistes pour une chronique « Artiste à Découvrir ». Sur myspace je fais défiler les profils, et tombe sur celui de SWANN. Ma curiosité est éveillée, ce n’est pas souvent qu’on tombe sur une personne ayant le même pseudo/surnom que soi. J’écoute un premier titre, puis un deuxième, puis je tombe littéralement sous le charme de cette voix de velours qui chantent des textes tristes et de son style qu’elle définit comme du F.U.C (Beaucoup de Folk, un peu d’Underground et de la Country).J’écrivais il y a deux ans : « Dotée d’un charisme et d’une élégance naturelle, Swann évoque en chansons l’angoisse, la solitude, la peur, l’amour. Des sujets simples qu’elle tente d’aborder d’une manière tendre, poétique, presque naïve. Portée par une voix suave, à la fois rocailleuse et sensuelle, sa musique envoûte autant qu’elle surprend. A l’écoute de ces titres (« Waiting For The Moment », « Last Monday »), on ne peut s’empêcher de lui trouver une filiation spirituelle avec Neil Young et Patti Smith« … En 2011, mon avis n’a pas changé.Et c’est l’œil de Vincent Gauthier qui a capté quelques clichés (superbes au passage) de son passage à l’International, le 19 février dernier.