Goya, Saint François Borgia et le moribond impénitent (1788)
Las des semblants de crises hystérico-médiatiques exhibées à longueur de temps, comme des plaies sanguinolentes, béances propices à de fausses conversions, la lecture d’Inferno a eu le mérite de m’éclairer, Lire la suite sur le blog de l'auteur