Moribonds cette saison, les joueurs de Liverpool avancent par à-coups. L’arrivée de Kenny Dalglish a bien amélioré les choses mais le début de saison est un boulet qu’il leur faut porter jusqu’au bout.
Dans le grand classique du championnat d’Angleterre, Liverpool recevait le leader Manchester United. Positivement méconnaibles, les joueurs de Kenny Dalglish ont balayé l’équipe de Manchester United comme un vulgaire club de bas de tableau. Le (3-1) aura du mal à passer côté Sir Alex Ferguson.
- Dirk Kuyt, le bourreau de Manchester United
Dirk Kuyt, qui n’avait jamais marqué face à Manchester United, répond à Dimitar Berbatov lqui avait marqué un triplé lors du match aller. L’attaquant néerlandais a profité du bon travail des ses coéquipiers Raul Mereiles et Luis Suarez notament pour y aller de son hat-trick.
La correction aurait pu être encore plus lourde si les locaux avaient été plus efficaces encore.
Manchester trop léger une nouvelle fois
Trop souvent cette saison, Manchester a gagné de justesse ou donné l’impression d’être en sur-régime. Il faut dire que les joueurs de Sir Alex Ferguson ne sont plus le rouleau compresseur qu’ils étaient les saisons passées. Trop brouillon, les coéquipiers de Wayne Rooney peinnent à proposer un jeu léché et fluide qui faisait leur force. Une nouvelle fois, il ont offert le spectacle d’une équipe moyenne qui perd ses moyens lorsqu’elle est bousculée.
Une aubaine pour l’Olympique de Marseille. Didier Deschamps a du regarder la rencontre avec un sourire en coin. Les Red Devils ne sont pas imbattables et les 2 défaites consécutives en championnat le prouvent. Le coach marseillais devra s’inspirer des 2 rencontres face à Chelsea et Liverpool pour réaliser un petit exploit en match retour de Champions League.
Liverpool allié d’Arsenal
Comme Chelsea la semaine passée, les Reds ont fait tomber le leader. Même si Arsenal n’a fait que match nul face à Sunderland, ils reprennent 1 point sur le leader et ne sont plus qu’à 3 longueurs et 1 match en retard.
La confiance est indéniablement du côté des Gunners qui peuvent espérer une fin de saison palpitante entre Champions League et Premier League. A Arsène Wenger de mettre en place la stratégie idéale pour ne pas tout perdre en si bon chemin.
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