on n’a jamais dit
cette joie qui mord les atomes
l’offrande dont on ne revient pas
le suicide aimé de la nuit
non pas l’âme en peine
mais le bel anéantissement
(Zéno Bianu)
on n’a jamais dit
cette joie qui mord les atomes
l’offrande dont on ne revient pas
le suicide aimé de la nuit
non pas l’âme en peine
mais le bel anéantissement
(Zéno Bianu)