CONSTAT.
Ce qui reste Ar pezh a van
de toutes ces pierres-là war-lec’h an holl vein-se
à peine l’humilité uvelded un ano
d’un nom hepken
paroles abandonnées komzioù loasket da vont
au ressac et aux cris g’an taoliou-mor hag ar youc’h
in Le baptême des pierres, à paraître aux éditions Microcosme en avril 2011.