Ce que je retiens dans cette triste histoire de la fédération socialiste des Bouches du Rhone, c’est que la révolte ne peut venir que de la base. Tout le monde sait ce qui se passe à Marseille, pourtant, malgré le rapport accablant d’Arnaud Montebourg, tous les élus socialistes locaux « restent prudents». Au niveau des militants c’est une autre histoire. M. Jean-Claude Bosher, un adhérent local du PS n’accepte plus le « ben-alisme départemental » et réclame une « opération mains propres ».
C’est toute une génération de politiques qui va être très sévèrement jugée par l’histoire !