"Les 4 vies de Steve Jobs"

Par Next51 @next51blog


« À trente ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d’être de ma vie n’existait plus. J’étais en miettes. Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d’Apple fut salutaire… »
Telle est la confession de Steve Jobs en ce matin de juin 2005 aux étudiants de l’université de Stanford. Elle résume la maturation qui s’est lentement opérée en lui. Chassé d’Apple comme un malpropre en 1985, Jobs a réussi un come-back retentissant dix ans plus tard et décliné des œuvres qui marquent leur époque tels l’iPod, l’iPhone et l’iPad.
PDG le plus admiré au monde, Steve Jobs a le plus souvent navigué à contre-courant, poussé par une vision de génie et une force de conviction hors du commun. Pourtant, il peut aussi se tromper : c'est lui-même qui a failli couler Apple en 1984 après avoir lancé le Macintosh en imposant des choix techniques incohérents !
Les 4 vies de Steve Jobs dépeint la jeunesse troublée de Jobs, l’accession à la gloire suite à la fondation d’Apple, sa disgrâce et sa vaine tentative de revanche suivie d’un retour en apothéose. Il dévoile aussi mille facettes inattendues de l’artiste hors norme qui dirige Apple.
- Sa quête de l’illumination en Inde
- Son refus initial de reconnaître la paternité de sa fille Lisa
- La quête de sa mère qui l’a abandonné à sa naissance
- La tentative de soigner son cancer par un régime alimentaire végétarien…
À sa façon, Steve Jobs n’a cessé de vouloir changer le monde, changer la vie…
Daniel Ichbiah est l’auteur de plusieurs best-sellers comme Bill Gates et la saga de Microsoft et La saga des jeux vidéo. Il a été chroniqueur durant une douzaine d’années pour des magazines spécialisés dans l’univers Apple : MacWorld et SVM Mac.
Parution : Avril 2011 - 16.90 €

« Je suis passé de la misère à la fortune dans le chagrin de la nuit,
Dans la violence d’un rêve d’été, dans la froideur d’une lumière d’hiver,
Dans la danse amère de la solitude engloutie par l’espace,
Dans le miroir brisé de l’innocence perceptible sur chaque visage oublié.
»
Sans doute Steve Jobs se reconnaissait-il dans ces vers écrits par
un poète qu’il adule : Bob Dylan…
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