Le livre de David Wellington met les zombies à l'honneur en renouvelant le genre. Son histoire de zombies qui prennent le pas sur presque l'ensemble de l'humanité aurait pu être d'un banal assumé. Mais non, Wellington s'offre le luxe de renouveler un genre que l'on pensait définitivement voué à la série Z.
Au travers de ses personnages, attachants et forts, il offre non seulement de réels moments de peur et de dégout, mais aussi, et surtout, une réflexion sur ce qu'est notre humanité. Sans perdre du vu que le roman en question est haletant et prenant de bout en bout.
Une réelle découverte, qui donne une envie assez furieuse de dévorer la suite, soit deux autres romans pour l'instant.
A lire pour les fans d'horreur pas vide.
Résumé (par l'éditreur, l'excellente maison Milady):
A la suite d'une catastrophe mondiale les p les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. A la recherche d'un remède au virus, un groupe d'adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l'île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d'être le destin le plus terrifiant...