A l’heure d’une pagaille indescriptible à la frontière lybio-tunisienne, le CICR tente d’apporter, à l’intérieur du pays, son aide aux blessés des violences de ces deux dernières semaines (*). Si l’équipe médico-chirurgicale envoyée il y a quelques jours à Benghazi, à l’est du pays, travaille dans des conditions acceptables, la situation demeurent très préoccupante à l’ouest pour notamment atteindre les hôpitaux de Tripoli.
A écouter, cette interview du directeur général du CICR, Yves Daccord, enregistrée hier à Genève.
(*) voir communiqué d’avant hier
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