Evidemment que ce soient les uns (Banques) ou les autres (Etats), leur production incestueuse de monnaie n'a pour autre but que de donner aux uns les moyens d'imposer le travail forcé aux autres (esclavage). Phénomène décrit comme contraire aux droits de l'homme dans son article N°4.
On notera d'ailleurs le biais conceptuel, quand par exemple on écrit "la France n'a "pas les moyens de perdre 4,5 milliards de ressources", en confondant allègrement la nation France (propriété souveraine de ses citoyens) et l'Etat Français. Or la France, nation souveraine et indivisible, peut à tout moment révoquer cet Etat, et organiser la nation sous une forme nouvelle.
Ce même Etat a fait passer des autorisations de spoliation du sous sol national contraire au droit, sans l'avis du peuple, sans même le paiement d'une compensation aux citoyens, sans payer aucun loyer aux propriétaires souverains de la nation ainsi qu'à leurs descendants. S'appropriant donc unilatéralement la matière originelle. Un phénomène outrageant au vu de la clause lockéenne.
Il s'agit de rien moins que d'une violation de propriété sans compensation, alors même que l'occupation de leur propre nation par des citoyens, privés de tout droit d'accès aux ressources de base, et volés de leur loyer pour l'utilisation de ce même espace et de ces ressources, fait l'objet d'une expulsion en bonne due forme.
Il conviendrait pour faire juste poids et juste mesure de cesser tout versement de dividende à Madame Bettencourt et à ses héritiers, ainsi que de donner la jouissance des actions de L'Oréal à n'importe quel bénéficiaire arbitrairement choisi, et sans aucune compensation.
Résumons donc. Les propriétaires souverains de la nation sont priés de vivre sans aucun accès à leur propriété, sous propriété Etatique ou privée, et cette prise de propriété de la nation, ainsi que de ses ressources, ne fait l'objet d'aucun versement de loyer compensatoire à ses citoyens souverains.
Voilà toutes les conditions réunies pour qu'éclate une révolution.