Le rapport s’attarde aussi sur les ventes de musique numérique via mobiles y compris les sonneries de téléphones. Dans ce cas, la progression s’expliquerait par la présence de formules d’abonnements auxquelles sont de plus en plus souvent associés opérateurs (Neuf Music par exemple) ou fabricants de téléphones mobiles (Nokia). Les modèles du “gratuit, financé par la publicité” et de la vente directe, de l’artiste au consommateur sans passer par une maison de disques, sont également envisagés comme des vecteurs de croissance potentiels. Aujourd’hui, plus de 500 services en ligne légaux offriraient un catalogue de 6 millions de titres.
Au final, l’IFPI a appelé les gouvernements du monde entier à combattre “concrètement” le téléchargement illégal de musique sur internet. Elle a cité en exemple “l’accord Sarkozy” signé en France entre les secteurs de la musique, du cinéma et d’internet et les pouvoirs publics, au terme d’une mission confiée à Denis Olivennes, affirmant qu’il avait contribué “plus que toute autre chose à changer l’état d’esprit” vis-à-vis de cet enjeu. C’est sûr, nous avons pas fini d’entendre parler du …
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